Si vous vous intéressez à l'histoire, vous savez certainement que la guerre civile américaine débute en 1861. Mais aussi qu'elle a opposé pendant 4 années les états de l'Union au nord dirigés par Lincoln et les états dits "confédérés" principalement situés dans le sud du pays. D'où le nom du jeu... fallait y penser.

Le jeu reprend donc cet antagonisme géographique pour en faire un titre marquant, un rappel de cette histoire troublée et violente. Cependant, les développeurs se sont surtout inspirés d'une BD belge très populaire alors, Les Tuniques Bleues.
Pour les fidèles lecteurs de Pixel-Maniac, cela ne vous aura pas non plus échappé! Dans les années 90, les Schtroumpf et Tintin auront droit à leur adaptation plus ou moins originale par Infogrames. Vous pourrez retrouver ces tests dans le site en cliquant sur la petite loupe de la barre du menu.

Le n°2 des Tuniques Bleues avec un titre pour le moins explicite

Nord et Sud, le jeu, sort en 1989 sur les micro 16bits Atari ST et Amiga mais aussi sur PC MS-DOS un an plus tard en 1990. Il se présente comme un jeu mêlant stratégie et action avec des phases de déplacement de vos armées au tour par tour, comme dans un jeu de plateau, et des phases d'action en temps réel se déroulant sur un champ de bataille principalement.

ChucChu Rocket! est un jeu de type puzzle initialement sorti sur la console SEGA Dreamcast entre 1999 et 2000. Il a été conçu sous la direction de Yuji Naka, célèbre pour son travail sur la série Sonic the Hedgehog. Rapidement, une version GBA sera mise en service en 2001 pour remplacer feu la Dreamcast, morte la même année.

C'est sur la version GBA que nous avons pu tester le jeu. Mais cela n'a que peu d'importance, le jeu étant graphiquement très basique, c'est sur son gameplay et ses fonctions novatrices que nous allons nous attarder et la version GBA est en tout point très fidèle à l'originale.

L'histoire dans le jeu

Les ChuChus sont des créatures de l'espace ressemblant à des souris mais qui n'en sont pas. Elles vivent sur une lointaine planète mais les KapuKapus, qui ressemblent à des chats mais n'en sont pas, n'ont qu'une idée en tête, un génocide en règle des ChuChus. La seule issue possible est la fuite vers l'espace à bord de fusées.

Mais comme rien n'est simple, la fuite est entravée par un environnement hostile et des KapuKapus particulièrement têtus qui vont tout faire pour éliminer le moindre ChuChu en panique.

En 1994, Sony lance la 1ère Playstation. Comment la marque nipponne est passée en quelques années d'Outsider à Leader historique du jeux vidéo mondial

La Famicom a marqué l'histoire du jeu vidéo pour être la première vraie console grand public ayant donné ses lettres de noblesse au média.
La Playstation fut la console de jeux qui aura réussi le difficile passage de l'ère 2D à la 3D mais aussi du support cartouches aux très attendu CD-ROM. Elle est aussi la machine d'une génération qui voit le jeu vidéo passer à l'âge adulte, un peu comme les joueurs qui suivent l'évolution du média depuis le début des années 80. Dans une moindre mesure elle annonce l'avènement du multimédia avec des machines capables de faire bien autre chose que tout simplement jouer...

Retour sur une console qui mérite, autant que son illustre aînée, un statut de légende absolue du jeu vidéo.

Les premières incursions de Sony dans le mode du JV: je t'aime, moi non plus...

Dans les années 80, Sony est avant tout une entreprise high tech, un fabricant de composants électroniques et de produits innovants. On lui doit notamment le "Walkman" dont le première exemplaire sort en 1979! Le jeu vidéo n'est pas une préoccupation principale pour les dirigeants de Sony qui l'associent plus à un jouet, à quelque chose de pas sérieux.

Cela ne les empêche pas de s'acoquiner avec Nintendo pour produire la puce audio de la Famicom, domaine de prédilection de la société. Nintendo et Sony débutent ainsi un partenariat qui durera plus d'une décennie.

Au sein de Sony, un ingénieur visionnaire, du nom de Ken Kutaragi (voir photo ci-dessus), verrait bien son entreprise se lancer dans le jeu video comme fabricant de console, une idée saugrenue qui se traduit pourtant par un nouveau partenariat avec Nintendo pour produire un lecteur CD-ROM intégré à la Super Nintendo en 1990.

Le combat Cartouches // CD-ROM

Nintendo sent que le CD-ROM risque un jour de s'imposer à la place de ses très "chères" cartouches. On comprend la réticence de la firme de Kyoto qui voit d'un mauvais œil la remise en cause de son juteux business autour des cartouches qu'elle vend à prix d'or aux éditeurs tiers. Pieds et poings liés, ils sont pourtant résignés face à la situation quasi hégémonique du géant japonais.

Sony propose donc un deal permettant à la SNES de se doter d'un CD-ROM et de cartouches. Par la même occasion ils souhaitent pouvoir exploiter les même jeux format CD-ROM sur d'autres machines compatibles estampillées SONY... Une hérésie pour Nintendo qui veut cantonner Sony au rang de "simple" fabricant.

Comprenant rapidement que Sony a la ferme intention de s'implanter, avec ou sans leur aide, dans le secteur du jeu vidéo, Nintendo décide de passer un deal avec Philips pour le lancement du CD-i. L'annonce est faite au CES de 1991 (ancêtre de l'E3) et Sony vit l'affaire comme une coup de poignard dans le dos. Sony et Nintendo vont alors stopper leur partenariat sur le lecteur de CD-ROM/SNES, un divorce qui ne sera jamais vraiment soldé.

Le CD-i de Philips sera un échec cuisant et le partenariat avec Nintendo donnera naissance à une suite de jeux Mario et Zelda tellement mauvais qu'ils sont devenus cultes.

En 1992, le temps de digérer l'affront de Nintendo, Kutaragi arrive à convaincre le Board de Sony de le laisser travailler sur une console de jeu propre à la marque. Les arguments de Kutaragi et son équipe font mouche:

• Puissance du hardware
• Utilisation du format CD-ROM
• Maitrise de la 3D innovante
• Accessibilité pour les développeurs et éditeurs tiers

Malgré la réticence de certains, Kutaragi réussit à lancer son produit dans une génération de consoles 32-bits qui s'annonce embouteillée et donc très incertaine.

Bushido Blade fait partie des jeux à part dans l'histoire de la Playstation première du nom. D'ailleurs c'est un jeu qui ne souffre d'aucune comparaison et qui ne laisse pas indifférent. On l'aime ou on l'aime pas, le genre de jeu sans "concession" qui devait d'abord s'adresser à un public japonais, on va pas se mentir. Pourtant grâce à la bonne réception du premier volet sorti en 1997, Square récidive l'année d'après avec une suite qui est plutôt une version 1.5 du jeu, nommé simplement Bushido Blade 2.

L'exercice sera d'autant plus simple que, si vous êtes un fidèle lecteur du site (ce dont je ne doute pas), vous aurez déjà sans doute pris soin de relire l'article sur Bushido Blade, premier épisode.

Plus simple aussi pour moi car je vais m'attarder surtout sur les nouveautés qui, il faut bien le dire, ne sont pas folichonnes. Mais Square a souhaité, je pense, préserver l'essentiel de ce qui avait fait le succès du premier opus, et corriger les quelques erreurs de jeunesses pour en faire la version la plus aboutie (traduction: aboule le blé, gros pigeon!!!).

A commencer par l'histoire. Deux clans d'assassins s'affrontent et ce sera à qui se montrera le plus fort... bla bla. Bon on a compris, l'essentiel de Bushido Blade, c'est le combat à l'arme blanche dans des environnements divers, sans limite de temps, une interface inexistante et de longues balades dans des environnements graphiquement assez pauvres... et surtout vous pouvez buter l'adversaire en un coup. Oui, c'est ca Bushido Blade.

Barnet Collège, 1939. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, des agents nazis sont sur le point de mettre la main sur une arme plus dangereuse que la bombe atomique. Seul Indy peut les arrêter avant qu'ils ne dévoilent le secret mortel qui a coulé l'Atlantide!

Dans Indiana Jones and the Fate of Atlantis, vous incarnez Indiana Jones, l'archéologue-aventurier renommé, qui tente de découvrir et d'explorer la légendaire Atlantide. Les agents nazis, avides de libérer les pouvoirs de l'Atlantide contre un monde sans méfiance, sont sur les traces d'Indy... ou l'ont-ils déjà dépassé?

C'est ici que vous intervenez : vous dirigez les actions d'Indy (et, parfois, de sa collègue devenue médium, Sophia Hapgood) dans sa quête de l'Atlantide. Indy devra, de temps à autre, conduire une voiture, monter à dos de chameau, piloter un ballon, manœuvrer un sous-marin, et réparer ou utiliser des machines atlantes. De plus, de nombreuses énigmes mystérieuses seront à résoudre, et il faudra survivre à une série de rencontres périlleuses. Grâce à votre intelligence, vos poings, et l'aide de votre fidèle compagnon, vous découvrirez enfin le véritable destin de l'Atlantide!

Pour beaucoup de fan de la saga cinématographique, Indiana Jones et la Dernière Croisade est le volet somme, l'épisode le plus abouti de Steven Spielberg et le film de toute une génération. Je me souviens l'avoir découvert dans les salle obscures à sa sortie, en 1989, avec des étoiles pleins les yeux.
C'était l'âge d'or du cinema à grand spectacle américain des années 80.

Je me souviens aussi que, dans la foulée, 2 grands jeux de la franchises sont sortis à la même époque et, chose curieuse, sous le même nom.

Indiana Jones and the Last Crusade, the Action Movie, un jeu d'action plateforme, comme son nom l'indique et Indiana Jones and the Last Crusade, the Graphic Adventure, celui dont nous allons parler dans cet article.

The Graphic Aventure est un jeu d'aventure point 'n click. Un jeu à l'ancienne comme on dirait aujourd'hui, mais qui était le genre roi sur PC dans les années 80 et jusqu'au milieu des années 90, avant que le genre FPS ne le relègue au musée.

Alors que le film est toujours en salle, j'acquiers le jeu à sa sortie sur PC version EGA, sa plateforme d'origine, et je me lance dans la quête du Graal avec ferveur mais l'expérience va s'avérer un tantinet douloureuse.

Techniquement les graphismes sont plus fins et détaillés que les précédents jeux d'aventure du studio (dans sa version VGA surtout), l'interface plus intuitive et lisible. Le verbe "parler" fais son apparition avec les dialogues à choix multiples et il est possible de passer certaines étapes de plusieurs façon différentes. L'humour est bien sûr omniprésent et la musique originale du film vous mettra une petite larme à l'œil.

Au début des années 90, le jeu de tir à la première personne (FPS) est loin d'être un genre majeur. C'est même une curiosité. La 3D en temps réel n'est qu'à ses balbutiements au point qu'il faille rajouter le suffixe "3D" dans le titre des jeux exploitant cette technique comme argument commercial ultime.

En 1992, même s'il n'est pas tout a fait le 1er du genre, Wolfenstein 3D se distingue par ses graphismes en 3D texturés impressionnants, son immersion incroyable et surtout sa violence débridée et assumée. La fluidité des déplacements et la simplicité des contrôles (clavier + souris) en feront un modèle pour les futurs jeunes développeurs des années 90 que la sortie de DOOM (dec 1993) achève de convaincre: le FPS, c'est l'avenir!!!

A la sortie de Doom, la Megadrive (nous sommes en 1993) est en fin de parcours. Pourtant cela n'empêche pas les développeurs de Tecnopop et Accolade de se lancer dans la création d'un "doom-like" sur la vieillisssante console de SEGA. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il s'agit du véritable exploit tant la Mega Drive n'est pas prévue pour cela.

Zero Tolerance

Développé donc par Technopop et publié par Accolade en 1994 sur la console Sega Mega Drive Zero Tolerance est un des rares jeux de tir à la première personne disponibles sur cette console.

L'histoire de Zero Tolerance se déroule dans un futur dystopique où des forces extraterrestres et des terroristes ont envahi une station spatiale. Les joueurs incarnent des membres d'une équipe d'élite de cinq soldats (à choisir dans le menu de départ) ayant pour mission d'éliminer la menace. Chaque personnage a des compétences et des caractéristiques uniques, ajoutant un élément stratégique au jeu. A chaque nouvelle mort vous passez au suivant et le soldat mort ne peut plus être utilisé jusqu'à la fin de la partie.

Les joueurs ont accès à un arsenal varié d'armes, allant des pistolets aux grenades, et doivent gérer leur inventaire de manière stratégique.

Les niveaux sont complexes et nécessitent une exploration minutieuse pour trouver des clés, des passages secrets et des ennemis cachés. Une mini carte avec un radar sont heureusement prévus en dessous de l'écran de jeu, indispensable si vous ne voulez pas vous perdre.

"Zero Tolerance" offre un mode multijoueur avec 2 Mega Drive reliées par câble, permettant à deux joueurs de collaborer pour compléter les missions. Hélas le jeu ne propose pas de mode "deathmatch" qui aurait fait toute la différence.

Kirby's Adventure est un jeu vidéo développé par HAL Laboratory et publié par Nintendo pour la console NES. Sorti pour la première fois en 1993, il est le deuxième jeu de la série Kirby, après Kirby's Dream Land sorti sur Game Boy en 1992.

HAL Laboratory

HAL Laboratory, Inc. est un studio de développement de jeux vidéo japonais réputé, fondé le 21 février 1980. Le nom "HAL" est souvent considéré comme une référence à l'ordinateur HAL 9000 du film "2001: A Space Odyssey", et il est dit qu'il a été choisi pour signifier qu'ils sont "un pas en avant" de IBM (les lettres H, A, L viennent juste avant I, B, M dans l'alphabet).

Développeur tiers sur PC dans les années 80, le studio se rapproche étroitement de Nintendo et développera de nombreuses franchises à succès comme Super Mash Bros et surtout Kirby.
Satoru Iwata, qui est devenu plus tard le président de Nintendo, a travaillé chez HAL Laboratory pendant plusieurs années et a joué un rôle clé dans le développement de cette relation, notamment en collaborant étroitement sur la série des Kirby!!

Savez vous d'où vient le nom "Kirby"?

Kirby a été créé par Masahiro Sakurai, qui travaillait chez HAL Laboratory.
Le nom Kirby a lui été choisi en hommage à John Kirby, un avocat américain qui a défendu Nintendo avec succès dans un procès important.
En 1984, Nintendo était impliqué dans une bataille juridique avec Universal City Studios, qui les accusait de violation de droits d'auteur avec leur jeu "Donkey Kong". Universal prétendait que Donkey Kong était une copie illégale de King Kong. John Kirby a réussi à prouver que les droits de Universal sur King Kong étaient en fait très limités, et Nintendo a gagné le procès.
En reconnaissance de son aide précieuse, Nintendo a décidé de nommer leur nouveau personnage Kirby. Belle histoire non?

Vous n'avez pas assez souffert sur Ghosts 'n Goblins, publié et développé également par Capcom ?

Espèce de Maso! vous serez certainement tenté par ce spin-off hardcore qui se place cette fois du côté d'un démon sévèrement burné, cracheur de feu et capable de se transformer pour bénéficier de pouvoirs très variés.

L'histoire de Demon's Crest se déroule dans un monde gothique où Firebrand (votre personnage) cherche à récupérer les six "crêtes" (Crest) démoniaques volées. Chaque crête accorde à son possesseur un pouvoir spécial, et ensemble, elles donnent à leur détenteur une puissance ultime.

Evidemment vous ne récupérez ces artefacts qu'après des combats de boss épiques qui se méritent.

Le programme est alléchant et on est tout de suite transporté dans cette ambiance très "dark" qui caractérise la saga du développeur japonais.

Boulder Dash est un jeu vidéo d'arcade sorti en 1984, conçu par Peter Liepa et Chris Gray. Peter Liepa, un programmeur canadien, et Chris Gray, un designer de jeux vidéo, ont uni leurs forces pour créer ce qui allait devenir l'un des jeux de puzzle les plus emblématiques des années 1980. Le jeu a été publié par First Star Software et a rapidement gagné en popularité grâce à son excellente jouabilité.

Inspiration et Développement

Peter Liepa, qui avait un intérêt pour les jeux de puzzle et les défis intellectuels, a commencé à développer Boulder Dash en se basant sur l'idée de creuser dans un sol virtuel à la recherche de trésors. Chris Gray, quant à lui, a apporté des idées sur la structure du jeu et son aspect ludique.
Ensemble, ils ont réussi à créer un jeu qui a su captiver l'imagination des joueurs grâce à son concept simple mais addictif.

Si le principe rappelle Dig Dug, un jeu de Namco sorti en 1982, les mécaniques de Boulder Dash sont un peu différentes car notre mineur ne peut pas tirer sur les ennemis et le but du jeu est de ramasser tous les diamants pour ouvrir la porte de sortie. Cependant, il reste très similaire en de nombreux points.

Un peu d'histoire

L'entreprise que nous connaissons sous le nom de SEGA est créée au Japon dans les années 40. Sa principale activité est l'importation des juke-box et des machines à sous en provenance des USA. Ces machines étaient alors interdites chez l'oncle Sam.

Au milieu des années 50 SErvice GAme devient fournisseur de machines de jeux mécaniques, ancêtre des jeux d'arcade, comme par exemple les machines à photo automatique.

Le premier jeu vidéo signé SEGA date de 1973, une variante de Pong comme il en existait des centaines à l'époque. La borne d'arcade en question s'appelle Pong-Tron.

Puis c'est en 1982 que la première console de la marque est produite, la SG-1000. Cette période est propice à cette industrie au Japon. Tandis que les USA sombrent dans "l'ATARI shock", les constructeurs japonais profitent du vide laissé par le géant américain pour se lancer à bras le corps sur le marché des consoles de jeu vidéo. C'est le cas en 1983 pour la NES de Nintendo mais aussi de la SG-3000, qui deviendra plus tard la Master System.

Le circuit arcade system 16 de SEGA

Enfin c'est entre 1985 et 1987 que la conception d'une console 16-bits est lancée, calquée sur le fameux System 16 de l'arcade de SEGA. Vous voyez où nous voulons en venir?

La naissance de la Mega Drive

Connue sous le nom de "Mark 5", elle devient la MEGADRIVE (MD) au Japon et la GENESYS aux USA suite à une sombre histoire de droits. Son architecture est basée sur le System 16 donc, hérité de l'arcade. Grâce à cette technologie, une console de salon peut rivaliser pour la première fois avec les bornes d'arcade les plus récentes.

Techniquement la MD est équipée d'un processeur Motorola 68000, qui a fait ses preuves dans la micro mais aussi et surtout l'arcade, couplé avec un Z80 pour la gestion du son. La MD sera rétro compatible avec la Master System.
La puce FM Yamaha pour le son est capable de gérer jusqu'à 10 voix, ce qui équivalait à ce qui se faisait alors sur l'ATARI ST. La MD proposait un son stéréo avec également une prise casque, une première pour une console de jeu.